L’écriture

 

 


 

 

Propos de paille et de laine
Mes émotions fugitives, mes pensées soudaines,mes saillies polémiques, mes naïvetés poétiques,mes moqueries caustiques sont comme les libellules dansantes ; elles virevoltent dans la lumière puis disparaissent dans l’oubli. Pas toutes. Quelques-unes, de-ci et de-là, de saison en saison, de note en note, de souvenir en souvenir, de mot en mot, de brève en brève, se sont posées sur ces pages.
Au fil du temps qui passe.
Certaines sont douces comme la laine ; d’autres, comme la paille, irritent un peu.
Ainsi va la vie…et mon humeur !
PROPOS DE PAILLE ET DE LAINE
240 pages – 20€

 

 


 

 

imaginair

 Imagin’air

Au bout de la nuit, les lumières de l’aube découvrirent un sillon incurvé, perdu jusqu’à l’au-delà de l’horizon ; un sillon traversant le champ de Timothée, celui de son voisin, celui du voisin de son voisin et les suivants des suivants ; un sillon ignorant ruisseaux, haies et barrières ; un sillon guidé par la seule trajectoire de la lune jusqu’à ce que celle-ci disparaisse à l’ouest, abandonnant l’espace à l’astre solaire émergeant des ténèbres à l’est.
_ A dia ! a dia ! Hue ! Timothée et sa jument Terpsichore, labourait maintenant droit sur le disque rouge sorti des flots…

IMAGIN’AIR – 352 pages : 30 €


 

 

deus

Deus, fiat voluntas tua !

Lorsque la tête de l’abbé Séraphin émergea, celui-ci entra brusquement dans la lumière. Ebloui, il cligna des yeux et découvrit, penchés vers lui, un homme vêtu de vert, masqué de blanc.
_ Poussez, poussez fort Madame, poussez encore plus fort, ordonnait l’accoucheur à sa parturiente. L’abbé, dont le corps nu était celui d’un nouveau-né, venait d’être soulevé d’entre les cuisses d’une belle jeune femme brune. Le praticien le tenait par un pied, suspendu la tête en bas. Le réflexe de Séraphin fut de protester ; on ne traite pas de manière aussi désinvolte un docteur en théologie, mais il ne put émettre qu’un cri de bébé…

DEUS, FIAT VOLUNTAS TUA ! – 112 pages : 17 €


 

 

La Falaise

La Falaise aux cormorans

La balafre

Dans la grande chambre dont les fenêtres dominaient l’océan, Erwan se fit plus tendre, Catherine plus câline, lui plus pressant, elle plus soumise et, au matin, lorsque les premiers rayons du soleil pénétrèrent dans la pièce, ce fut pour ensoleiller leurs corps dénudés dans un lit défait.
Toute la nuit, le mat dressé, la voile hissée, les amants s’étaient laissés emporter par les vagues surgies du plus profond d’eux mêmes et, plusieurs fois, jusqu’à des ressacs impétueux et triomphants.

LA FALAISE AUX CORMORANS – 252 pages : 20 €


 

 

Qui a assassiné les fées

Qui a assassiné les fées ?

Des poètes exaltés, des musiciens inspirés, des rêveurs en quête de songes délirants, partagaient la même passion de la langue française, la même appétence pour les belles envolées lyriques,
l’amour de la belle musique. Leurs âmes vagabondes et leurs délires féconds nourrissaient chaque jour l’imaginaire du petit Thibaud d’histoires fantastiques.
Les elfes, les sylves, les lutins, les farfadets, les feux-follets sarabandaient,
les fées y accomplissaient des prodiges, transformaient les libellules en princesses, les papillons en chevaliers et les méchants en crapauds suintants…
QUI A ASSASSINÉ LES FEES ? – 240 pages : 20 €


 

 

good luck

Good luck, David !

En coulisse, le coeur de David battait la chamade.
_ La trouille me donne la colique, confia-t-il à Catherine qui tentait de le rasséréner :
_ Calme-toi ! La valse en la mineur de Chopin, tu la connais par coeur, tu pourrais la jouer les yeux fermés, tu l’interprètes à la perfection, tu n’as aucune raison de douter de toi.
David n’osait lui avouer que sa trouille n’était pas d’avoir à jouer une valse en public ; sa trouille c’était d’être un petit juif et de devoir l’exécuter devant trois rangées d’officiers SS. Sans compter le risque d’être reconnu par «le boiteux à la tache de vin».

GOOD LUCK, DAVID ! – 198 pages : 20 €

 


 

 

 

Au café du foirail

Au café du foirail

 Si un jour le hasard guide vos pas vers ce village mille fois parcouru au fil de mon écriture, vous le reconnaîtrez sans peine : un pont de pierres moussues enjambe une petite rivière à truites, un joli chemin bordé d’aubépines s’élève un peu et débouche sur une place bordée de vieux pommiers. A l’une des extrémités de cette place se dresse l’église du Seigneur et à l’autre, la Mairie, celle de la république.
Sur les côtés, en vis-à-vis, se trouvent une école et un café. Si celui-ci porte l’enseigne du Café du Foirail, si les conteurs se nomment Ophélie-Séhérazade, Hilarion, Zéphirin et la serveuse Fanon, vous y êtes, vous l’avez trouvé, c’est lui…
AU CAFE DU FOIRAIL – 198 pages : 20 €

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